En observant la façon de vivre des asiatiques, et ce soucis du détail qu'ils portent à toute chose, j'ai réalisé l'importance de la relation.
La relation que l'on porte aux choses, aux gens, à ce que l'on fait, à soi-même.
Tout n'est en fait qu'une réflexion de notre relation à la Vie. Sous diverses formes: mon amoureux, mon chat, mon supérieur, ma voisine. Mon nouvel emploi, mon objectif de me mettre à la course à pieds, mon rêve d'avoir un enfant, ce que je vois à travers le miroir. La tarte aux pommes dans mon assiette, ma façon de laver ma lessive à la main, mon insomnie, mon compte en banque.
Tout cela n'est que le résultat de bien plus grand. Ma relation à la Vie. D'autres utiliseraient le mot Dieu, mais comme ce mot a malheureusement été bien écorché ces derniers temps... j'appellerai Dieu, la Vie.
C'est ce qui ne va pas quand c'est le bordel quelque part. Notre relation à la Vie.
D'abord, on la prend pour acquis, la Vie. On ne la respecte pas, en croyant qu'elle sera toujours là. Aussi, on lui demande d'être ce que l'on veut qu'elle soit, sans reconnaître et aimer ce qu'elle est simplement. On exige d'elle et on la juge, alors qu'elle nous fait le plus beau des cadeaux chaque jour qui passe: sa présence.
Puis, on manque d'humilité. Il faudrait baisser la tête face à la Vie. L'honorer sans cesse, s'émerveiller devant elle. Et surtout, elle mérite notre confiance absolue, notre foi sans faille. Si elle a pu nous faire exister, elle peut assurément accomplir une infinité d'autres miracles.
Il faut ajuster nos yeux et notre coeur. À notre relation à la Vie, et à tout ce qui est, par le fait même. Le monde moderne des adultes nous a fait un peu trop capricieux et orgueilleux.
La Vie nous donne leçon, jour après jour par sa fragilité, de notre propre vacuité. Et cela est le plus riche enseignement qui soit.
Rien ne dure, tout est à chérir.
La relation que l'on porte aux choses, aux gens, à ce que l'on fait, à soi-même.
Tout n'est en fait qu'une réflexion de notre relation à la Vie. Sous diverses formes: mon amoureux, mon chat, mon supérieur, ma voisine. Mon nouvel emploi, mon objectif de me mettre à la course à pieds, mon rêve d'avoir un enfant, ce que je vois à travers le miroir. La tarte aux pommes dans mon assiette, ma façon de laver ma lessive à la main, mon insomnie, mon compte en banque.
Tout cela n'est que le résultat de bien plus grand. Ma relation à la Vie. D'autres utiliseraient le mot Dieu, mais comme ce mot a malheureusement été bien écorché ces derniers temps... j'appellerai Dieu, la Vie.
C'est ce qui ne va pas quand c'est le bordel quelque part. Notre relation à la Vie.
D'abord, on la prend pour acquis, la Vie. On ne la respecte pas, en croyant qu'elle sera toujours là. Aussi, on lui demande d'être ce que l'on veut qu'elle soit, sans reconnaître et aimer ce qu'elle est simplement. On exige d'elle et on la juge, alors qu'elle nous fait le plus beau des cadeaux chaque jour qui passe: sa présence.
Puis, on manque d'humilité. Il faudrait baisser la tête face à la Vie. L'honorer sans cesse, s'émerveiller devant elle. Et surtout, elle mérite notre confiance absolue, notre foi sans faille. Si elle a pu nous faire exister, elle peut assurément accomplir une infinité d'autres miracles.
Il faut ajuster nos yeux et notre coeur. À notre relation à la Vie, et à tout ce qui est, par le fait même. Le monde moderne des adultes nous a fait un peu trop capricieux et orgueilleux.
La Vie nous donne leçon, jour après jour par sa fragilité, de notre propre vacuité. Et cela est le plus riche enseignement qui soit.
Rien ne dure, tout est à chérir.
2 commentaires:
Merci Charlène... Quel beau chemin que d avoir les yeux pour voir et le coeur pour sourire... À la Vie!
Encore un bel article, synchro par rapport à mon état d'être du moment.
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